26/12/2014

Someone's built a candy brain

Je voulais parler de Billy Idol depuis quelques temps, mais ce qui m'y a réellement décidé, c'est de regarder "Allo maman c'est encore moi" (après, évidemment, avoir regardé "Allo maman ici bébé"), il y a quelques jours (on s'occupe comme on peut à l'approche de Noël). Et il se trouve que le cultissime "Rebel Yell" fait parti de la BO. Il n'en fallait pas plus pour que je bouge mon popotin (ou plutôt, mes doigts), sur le clavier.


J'ai grandi avec ce sublime chanteur, grâce aux compiles rock de mes parents. Comme pour beaucoup d'autres artistes, j'ai eu un véritable déclic à l'adolescence, plus précisément lors d'un concert durant lequel Horrorpops reprenait ce même titre. J'ai commencé à collectionner ses chansons, me passionnant de plus en plus pour lui (il chante bien, il est canon, il a une attitude de bad boy... Tout pour plaire!). Je me souviens d'un blindtest dans la capitale, il y a quelques années, où j'ai piqué ma crise car l'organisateur s'était embrouillé dans ses fiches et l'avait confondu avec Brenda Lee. Comment dire... Bonjour la culture musicale. Confondre un mec des 80s avec une nana des 60s, c'est quand même énorme.


Il y a quelques semaines, j'ai fait une mini syncope en apprenant qu'il serait à l'affiche du prochain Hellfest. Fin juin, je vais donc pouvoir groupiser à mort.

*Sweet Sixteen - Billy Idol

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire